Voici le principal d’un éditorial que je viens de identifier sur le web. Le thème va inévitablement vous plaire. Car la thématique est « la justice ».
Son titre suggestif (les bras de fer sans fin du clan Traoré avec l’État) condense tout le post.
L’écrivain (identifié sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.
Il n’y a aucune raison de douter du sérieux de ces infos.
Sachez que la date d’édition est 2023-07-09 11:22:00.
DÉCRYPTAGE – Dans les années 2010, cinq frères d’Adama, qui dénoncent un acharnement, ont eu en effet affaire à la justice, souvent en relation, mais pas toujours, avec les mobilisations du Comité Adama.
Après la vague d’émeutes qui a secoué la France, le nom d’Adama Traoré, mort le 19 juillet 2016, est revenu à la une de l’actualité avec une manifestation parisienne interdite samedi, mais maintenue par les organisateurs, et l’interpellation puis l’hospitalisation de l’un de ses frères.
Pour les uns, la mort d’Adama Traoré en fait le «George Floyd français», du nom de cet Afro-Américain tué par un policier le 25 mai 2020 à Minneapolis. Pour les autres, elle est au centre d’une récupération politique impliquant une partie de l’extrême gauche et de la gauche française. Une chose est en tout cas certaine: sans la mobilisation de la famille Traoré, ce décès serait probablement oublié depuis longtemps. Or, depuis bientôt sept ans, il revient régulièrement sous les feux de l’actualité. Car les Traoré se livrent à un double bras de fer avec l’Etat: politique d’abord, avec des manifestations régulières. Et sécuritaire ensuite, car plusieurs membres de cette famille ont défrayé la chronique judiciaire…
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